Ce livre, je l’ai dévoré ! 😋😋😋
Le style anglo-saxon est finalement bien plus fluide que celui francophone !
J’ai abusé du fluo et du post-it, mais c’est pour la bonne cause (NB : c’est une bonne astuce mnémotechnique de prof pour retenir les points-clé d’un livre 🤓🤓🤓)
Voici ce qu’il faut retenir sur la popularité d’un contenu, d’une marque, d’un produit ou d’une personne :
➡️La valeur sociale : les gens aiment partager et échanger sur ce qui valorise leur image auprès de leurs pairs
➡️Les déclencheurs : il faut créer un environnement propice pour faire passer les gens à l’action : la confiance n’est qu’un levier parmi tant d’autres
➡️ Les émotions : l’excitation, la joie, l’admiration, l’humour, l’anxiété et la colère font passer à l’action, la tristesse et la satisfaction, non.
➡️ La visibilité : être visible fait jouer la preuve sociale pour fournir du « résidu comportemental ». La gens imitent les autres pour être valorisés socialement, et la marque, le produit, l’image d’une personne se répand sans le moindre effort supplémentaire.
➡️ L’utilité : partager des solutions à des problèmes ciblés ou usuels permet aussi de se valoriser auprès de ses pairs, dès lors que ces solutions sont adressées aux bonnes personnes.
➡️ Les histoires : on aime (se) raconter des histoires et les partager, parce qu’elles sont de bons vecteurs d’information et permettent de transmettre une moralité/un message facilement. ⚠️ Attention, raconter une histoire sans se préoccuper des priorités de sa cible est improductif, il faut faire écho à un besoin, et y répondre pour éventuellement faire passer à l’action.
ℹ️ Pas besoin de cumuler tous ces critères, mais ➕ il y en a, mieux c’est.
ℹ️ Popularité ≠ visibilité, du moins pas uniquement.